La voie est de nouveau ouverte pour poster vos commentaires

Publié le par Garrigues et Sentiers

Chers amis Internautes,

Par suite d'une panne de notre serveur,  pendant quelques jours la rubrique "Commenter cet article" qui figure en pied de page sous les articles a été dépourvue des champs permettant d'y écrire votre nom, votre adresse de messagerie et le texte que vous souhaitez nous adresser. 

Overblog vient de remédier à ce dysfonctionnement. Vous pouvez donc de nouveau utiliser la rubrique.

Par avance, merci à ceux qui ont vainement essayé de poster des commentaires dans l'intervalle de renouveler leur tentative, car notre blog se nourrit du dialogue que nous tissons avec eux – et entre nous – par le biais de leurs commentaires.

G & S 

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
L
¤ UNE TRÈS HEUREUSE OCCASION DE REDIRE QUE CE BLOGUE « GARRIGUES ET SENTIERS » EST UN IRREMPLAÇABLE ESPACE DE LIBERTÉ.<br /> <br /> De l’interrogation et de la réflexion sur les approches de la spiritualité – chrétienne mais ouverte à toutes les sources, et en premier lieu à la filiation intime avec le judaïsme – aux thématiques les plus fondamentales pour notre société, « GARRIGUES ET SENTIERS » démontre, par l’exemple, que le dialogue incessant des convictions, des questionnements et des doutes, dans la recherche exigeante, et tout aussi incessante, des intelligences du croire et du non croire et du vivre, forme à peu près le seul cheminement, et en tout cas le plus sûr, pour les élévations de la condition humaine.<br /> <br /> Pour les grandissements de la nature et de la raison humaines. Et d’abord par la résilience et la résistance individuelles et collectives face aux forces gouvernantes du mal – obscurantisme, fanatisme, totalitarisme ... Face aux expressions présentement les plus prégnantes de ce mal : la furie des férocités aveugles de la haine et les frénésies de pouvoir couplées à l’ivresse de la force. Et – ‘’UBI SOLITUDINEM FACIUNT’’ – face aux déchaînements d’une cupidité compulsive qu’on nomme ‘’marché’’ ou ‘’concurrence’’ et qui abolit la pensée et jusqu’à l’esprit.<br /> <br /> Un cheminement de liberté et de nécessité qui, en fin de compte, au regard de notre espèce et du monde qui lui est assigné, identifie, pour le croyant et le non-croyant, le salut à la survie.<br /> <br /> Didier LEVY – 23 02 2020
Répondre