Tous ensemble vers le Paradis...

Publié le par Garrigues et Sentiers

Si vous êtes un habitué de ce blog, vous devez vous demander pourquoi la colonne de droite est aujourd’hui vide…
La raison en est simple : l’évangile de ce dimanche est particulièrement difficile à comprendre et nous avons pensé que nous ne serions pas trop nombreux – nous tous, lecteurs de Garrigues & Sentiers – pour essayer de nous entraider en partageant notre vision du message que Jésus y délivre.

Nous vous invitons donc à écrire, simplement et sans crainte, ce que vous ressentez à la lecture de cette histoire surprenante.
 
Pour cela cliquez ICI et vous pourrez entrer votre commentaire de l’évangile.
 
Merci de donner un peu de vous-même pour le « collectif », comme dirait Bernard Laporte !
Oui, si en ces temps de rugby-roi nous nous permettons de « botter en touche », c’est bien pour que cet essai soit vraiment collectif et que tous ensemble nous accédions au « Paradis » de la compréhension la plus profonde possible de la Parole de notre Seigneur (cf. l’article Lire la Bible c’est le Paradis).
 
Voici le texte (Luc 16,1-13)
 
1 Jésus disait à ses disciples : « Un homme riche avait un gérant qui lui fut dénoncé parce qu'il gaspillait ses biens. 2 Il le convoqua et lui dit : ' Qu'est-ce que j'entends dire de toi ? Rends-moi les comptes de ta gestion, car désormais tu ne pourras plus gérer mes affaires. ' 3 Le gérant pensa : ' Que vais-je faire, puisque mon maître me retire la gérance ? Travailler la terre ? Je n'ai pas la force. Mendier ? J'aurais honte. 4 Je sais ce que je vais faire, pour qu'une fois renvoyé de ma gérance, je trouve des gens pour m'accueillir. '
5 Il fit alors venir, un par un, ceux qui avaient des dettes envers son maître. Il demanda au premier : ' Combien dois-tu à mon maître ? – 6 Cent barils d'huile. ' Le gérant lui dit : ' Voici ton reçu ; vite, assieds-toi et écris cinquante. ' 7 Puis il demanda à un autre : ' Et toi, combien dois-tu ? - Cent sacs de blé. ' Le gérant lui dit : ' Voici ton reçu, écris quatre-vingts. ' 8 Ce gérant trompeur, le maître fit son éloge : effectivement, il s'était montré habile, car les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les fils de la lumière.
9 Eh bien moi, je vous le dis : Faites-vous des amis avec l'Argent trompeur, afin que, le jour où il ne sera plus là, ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles. 10 Celui qui est digne de confiance dans une toute petite affaire est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est trompeur dans une petite affaire est trompeur aussi dans une grande. 11 Si vous n'avez pas été dignes de confiance avec l'Argent trompeur, qui vous confiera le bien véritable ? 12 Et si vous n'avez pas été dignes de confiance pour des biens étrangers, le vôtre, qui vous le donnera ?
13 Aucun domestique ne peut servir deux maîtres : ou bien il détestera le premier, et aimera le second ; ou bien il s'attachera au premier, et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l'Argent. »

G&S

Publié dans Réflexions en chemin

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R
Eh, Monsieur "Arobase site web" ! pratiquer une religion ne veut pas dire qu'on veut "banir" les autres, comme vous le dites ! Quant aux cloches qui sonnent dès 4 h du matin, voire 3, comme vous le dites, d'accord ce n'est pas très agréable pour le voisins, pas plus ni moins que les mosquées que vous redoutez !
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A
j'ai tjrs cherché à savoir ql est la vraie religion qu'il faut suivre ,j'ai 50 ans et je n'ai pas encore trouvé.<br /> a moins que c'est celle des arabes (islam) puisque eux (les arabes) disent à part notre religion rien n'est valable. et vous autres<br /> qui devaient banir celle ci vu ces paroles qui me semblent pas juste ,vous les encouragez à construire encore des des mosquée pour deranger les gents a 4 h du matin voir 3h
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A
Dur, dur ! Nous étions habitués sur ce blog à avoir pour la messe du dimanche un utile "prêt-à-penser" (même si son contenu est quelquefois décoiffant) , et voilà que comme aux beaux temps de l'instruction publique, laïque et obligatoire, nous sommes soumis à une "interro écrite" !<br /> À tout hasard, donc : et si ce texte était pour nous dire que l'Évangile est tout, sauf de la morale. Mais qu'il ne transige pas sur l'essentiel : "Vous ne pouvez servir deux maîtres". Après tout, il n'est as dit que cet intendant était un homme esclave de l'argent, c'était peut-être une sorte de Robin des bois qui prenait aux riches pour redistribuer aux pauvres...
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B
Il est facile d'être banal sur ce sujet : "l'argent bon serviteur (quand on en a), et mauvais maître" ; sur "les fils de Lumière qui devraient être aussi fûtés que les fils de ténèbres" … Ce qui m'a toujours posé problème, c'est de savoir pourquoi l'intendant réduit la dette de l'huile de 50 % et celle du blé de 20 % seulement. C'est peut-être futile, mais … Marc
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