Commentez, commentez : voici comment...

Publié le par G&S

Amis lecteurs de Garrigues & Sentiers, quelques « dérives » épistolaires s’étant produites dans les semaines passées, nous voudrions vous rappeler quelques règles de bon usage destinées à garantir les droits des « commentateurs » mais aussi ceux des rédacteurs et des autres lecteurs.

- En préambule nous voulons confirmer que tout lecteur a sur ce blog un droit d’expression sous la forme de commentaires, droit qui ne sera jamais remis en cause.

- Un commentaire n’est pas un article et ne peut donc pas se transformer de façon régulière en exposé détaillé accompagné d’un grand nombre de références diverses ou de bibliographies étendues.

- Un commentaire est censé refléter l’opinion personnelle de son rédacteur, le recours à la pensée d’autrui étant seulement un moyen accessoire pour se faire mieux comprendre des autres lecteurs.

- Un commentaire, pour pouvoir être lu dans de bonnes conditions, ne doit pas dépasser 1.000 à 1.500 caractères, espaces compris.

- Il ne devrait donc s’en tenir qu’au sujet de l’article qu’il commente et éviter toute dérive vers des sujets n’ayant qu’un rapport très lointain avec le sujet initial dudit article.

- Quand un commentaire qu’on a posté fait l’objet d’une question de la part d’un autre internaute, il est naturel et donc souhaitable que la personne à qui cette question s’adresse y réponde.

- Les attaques ad personam n’ont aucune place dans un échange d’idées sur ce blog ; quant aux arguments ad hominem, ils doivent rester dans les limites du respect dû à tout lecteur ou rédacteur de ce blog.

Espérant avoir par ces quelques remarques avoir mis au clair des éléments quelquefois assez flous dans l’esprit de certains, nous vous invitons, amis lecteurs, à user des commentaires sans modération en nombre, mais avec tempérance sur la longueur et le fond !

G&S

Publié dans Garrigues & Sentiers

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J
<br /> <br /> Bonsoir,<br /> <br /> <br /> Vous avez réussi à me dissuader de poursuivre la fréquentation de votre site non pas tant parce que je n'y rencontre personne qui partage mes interrogations ou mes thèses, mais tout simplement<br /> parce que la teneur des réactions à mes commentaires me dépasse...<br /> <br /> <br /> Adieu! Et surtout poursuivez bien votre quête de Dieu...<br /> <br /> <br /> <br />
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D
<br /> <br /> @ Jérôme<br /> <br /> <br /> Il me semble que votre texte aurai pu (dû?) s'arrêter à la fin de sa première partie, car  pour le reste, dès que vous commencez à aborder des sujets tels que les maux qui défigurent le<br /> monde, l'Islam ou l'avortement, nous savons déjà, hélas, ce que vous aller nous dire ...<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> Je n'emploierai pas le terme de révulsion car mes objections ne procèdent pas de mon tempérament mais d'une lecture et d'une réflexion aussi approfondies que possible, pour mes facultés<br /> intellectuelles et ce que Dieu me permet d'entrapercevoir de la vérité. Je dirais tout simplement que j'aime à dialoguer avec des personnes qui ont des vues fort différentes sur des sujets aussi<br /> essentiels que ceux qui sont abordés sur votre blog. Par ailleurs, vous conviendrez que la finalité d'un dialogue réside dans la recherche de la vérité...cette recherche étant souvent<br /> dialectique, ou méditative.<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Bonjour!<br /> <br /> <br /> Il me faut assurément commentez ce texte dont mes interventions sont à l'origine. En effet, celles et ceux qui auront eu l'occasion de me lire auront compris que je ne suis guère en phase avec<br /> bien des idées qui sont développées et diffusées sur ce blog. Il est vrai que mes critiques pouvaient paraître virulentes et mes écrits trop longs, mais je n'ai jamais eu l'intention de nuire à<br /> qui que ce soit. Certes mes objections concernent les présupposés mêmes de celles et ceux dont je ne partage guère la vision de l'Eglise, de son histoire, de sa doctrine, de sa tradition, de son<br /> magistère et de sa place dans le monde, mais de telles objections attendent des arguments et non pas la menace "inquisitoriale" de mise à l'index...ou de bannissement...Il semblerait que la<br /> rédaction de ce texte de bonne conduite montre que son ou ses rédacteur(s) aient craint de ne pouvoir répondre à mes objections ou qu'ils se soient mépris sur mes intentions. Or, faut-il le<br /> rappeler, je ne suis animé que par la recherche de la vérité et du sens...Ce qui suppose le risque de déplaire comme la chance d'entrer dans un dialogue fructueux même lorsqu'il débouche sur une<br /> impasse, car même une impasse est riche d'enseignement.<br /> <br /> <br /> Enfin, je voudrais faire remarquer à celles et ceux qui sont si prompts à critiquer, à récuser ou à réprouver les prises de position de l'Eglise catholique, sont trop rarement prompts à<br /> s''interroger sur les causes profondes des maux qui défigurent l'humanité de nos contemporains et qui signent autant de reniements du Christ de notre part. Je prendrais quelques exemples:<br /> <br /> <br /> La question de l'avortement pose la question du statut de l'embryon et du foetus humain, mais aussi celle de nos rapports entre homme et femme, de ce que signifie notre liberté jusqu'en ses<br /> limites...<br /> <br /> <br /> La question de l'islam pose la question du sens de la révélation. Je suis même très étonné pour ne pas dire effaré de voir ceux qui sont si prompts à critiquer l'Eglise dans toutes ses<br /> dimensions, et dérouler par ailleurs un tapis rouge à l'islam dans notre propre pays. Or, l'étude approfondie de l'histoire et de l'actualité montre assez bien que l'islam pourrait faire l'objet<br /> de critiques au moins autant si ce n'est plus virulentes que celles dont certains se plaisent tant à asséner sur la tête de l'Eglise incarnée par la personne de sa sainteté le Pape Benoît XVI.<br /> <br /> <br /> Je marrêterai là car je crains d'avoir été trop long.<br /> <br /> <br /> Merci encore pour votre ouverture d'esprit!<br /> <br /> <br /> <br />
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G
<br /> <br /> Effectivement, votre texte fait 2469 caractères espaces compris et dépasse donc de 969 caractères la longueur maximale préconisée, mais nous le mettons en ligne tout de même .<br /> Lirez-vous notre dossier sur les Chemins de vérité, vous qui avez l'air de si bien savoir ce que c'est ?<br /> Le blogmestre de G&S<br /> <br /> <br /> PS : pourquoi vous faites-vous tant de mal à lire ce qui vous révulse ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> Sans doute, mais d'un clic, on trouve sur Wikipedia la distinction entre argumentum ad hominem et argumetum ad personam....<br /> <br /> <br /> <br />
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G
<br /> <br /> Voilà quelqu'un qui sait chercher sur Internet !<br /> Merci Massaliotès de dire ce que je n'osais pas dire...<br /> Le blogmestre de G&S<br /> <br /> <br /> <br />
D
<br /> <br /> Ave !<br /> <br /> <br /> Merci pour la traduction de ad personam et ad hominem...ça m'a évité de chesrcher dans les pages roses du Larousse !<br /> <br /> <br /> Et merci égalemement pour les précisions concernant les façons de commenter : on finissait par redouter l'apparition ce certaines signatures...<br /> <br /> <br /> Vale!<br /> <br /> <br /> <br />
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G
<br /> <br /> Dans les pages roses, vous ne l'auriez pas trouvée !<br /> Merci à JPR pour son interpellation.<br /> Le blogmestre de G&S<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> <br /> <br /> Cher J.P. Reynaud,<br /> Je pense qu’il ne vous a pas échappé qu’un nombre non négligeable de mots et d’expressions latines font partie intégrante de la langue française.<br /> Qui ignore qu’alea jacta est et que, Deo gratias, in vino veritas ?!<br /> L’article ci-dessus est la reprise d’un commentaire que j’avais mis sur un article, pour alerter un de nos lecteurs particulièrement prolixe et intellectuel. Il m’a semblé utile de le faire<br /> connaître à un plus grand nombre de lecteurs pour que les règles soient unanimement connues, ce que j'ai fait sans modification.<br /> Pour en venir au cœur de votre commentaire, je vous dirai, grosso modo, que, primo, les insultes adressées à une personne en tant que personne le sont ad personam et<br /> sont strictement interdites et que, secundo, les reproches adressés à ses idées, à ses dires, à ses opinions le sont ad hominem et qu’ils doivent rester dans les limites d’un<br /> débat serein. Je vous concède que la distinction est peut-être subtile.<br /> Merci touttefois de m'avoir alerté : je vais donc essayer de ne pas abuser de ce genre de pédantisme.<br /> Je reçois votre remarque comme une correction fraternelle, car je sais que qui bene amat bene castigat!<br /> J'essaierai de me la rappeler à toute occasion, car errare humanum est, sed perseverare diabolicum…<br /> Bien cordialement<br /> Le blogmestre de G&S<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Peut-on commenter un commentaire sur les commentaires ? Et bien un seul mot : "Bravo".<br /> <br /> <br /> <br />
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J
<br /> <br /> Ben oui, d'accord avec l'ensemble, vu la pénibilité à suivre les méandres et les redites de certains. mais le francophone que je suis sera toujours un "réactionnaire" en la matière : que vient<br /> faire le latin (qui nous a formés je n'en disconviens pas, mais dont on n'est pas obligé de se rappeler) ; bref que veulent dire "ad persona" et "ad hominem" ?<br /> <br /> <br /> <br />
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